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Musée du dessin et de l'estampe originale

Château Arsenal
59820
Gravelines
0328518100
Art contemporain, Beaux-arts, Histoire
Tous les jours sauf le mardi, de 14h à 17h30.
Plein : 3€50
Réduit : 2€50
Gratuit - de 18 ans et partenaires
1e dimanche du mois gratuit pour tous: visite guidée de 15h à 18h en continu

Pour tout commentaire ou demande de renseignements, contactez directement le musée .

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Accès

Gravelines
Façade de la poudrière

27 000, c’est le nombre impressionnant d’estampes qui composent la collection de ce musée unique en France, dont la renommée a largement dépassé les frontières du territoire. Pousser sa porte, c’est pouvoir, au gré de l’exposition permanente renouvelée très régulièrement, découvrir des œuvres de Goya, de Dürer, de Picasso, d’Hokusai ou encore d’artistes passés maîtres dans l’art de l’estampe. Des artistes plus contemporains et tout aussi intéressants sont également régulièrement exposés. Le musée propose également à tous les publics de s’initier les différentes techniques de l’estampe.

L’œuvre imprimée sur papier explore des moyens propres, soit aux outils : de la gouge au burin, soit à certains matériaux : des planches de bois gravés en relief, aux matrices en creux sur cuivre, en passant par la pierre lithographique.

Vous pourrez en outre admirer un lieu étonnant, installé dans une ancienne poudrière datant du XVIIIe siècle et ses salles souterraines de défense aménagées par Vauban au sein du site fortifié de l’Arsenal.

Le corps de garde

Cet édifice abrite la billetterie / Boutique du musée. C’est là que vous prenez votre billet d’entrée et pouvez acheter une estampe originale ou un livre d’art.

La Poudrière

Nous voici au rez-de-chaussée de la Poudrière qui accueillait autrefois les réserves d’artillerie et de poudre à canon de la ville fortifiée. Aujourd’hui, elle est le lieu d’accueil des expositions d’art graphiques du musée. Au fond, un escalier mène au sous-sol où le regard est attiré par une lourde porte en bois. L’entrée de la réserve des armes était bien protégée ! Désormais, la pièce accueille l’exposition des collections du musée. Riche d’une collection de 22000 œuvres, l’accrochage est renouvelé tous les 6 mois pour lui donner de la visibilité. L’exposition a pour objectif d’expliquer les différentes techniques de l’estampe en présentant œuvres et outils. Art parfois méconnu du public, l’estampe continue de séduire de nombreux artistes.

La Salle du Pilier

Un long couloir sombre et voûté s’enfonce sous le talus du rempart.
Aujourd’hui, la salle du Pilier abrite des expositions temporaires et accueille également la réplique du plan-relief de Gravelines montrant l’état de la ville fortifiée en 1750.

La Salle du four à pain

Par un souterrain en pente, on accède également à la salle du four à pain. Cette salle était une casemate d’artillerie dont la construction en 1528 a marqué le début du chantier du château édifié sous Charles Quint. La salle est un espace de projection ou elle peut être investie par des artistes pour une installation.

La Salle du demi-bastion

Particularité de cette salle souterraine : elle dévoile les différentes strates de la fortification, du moyen âge jusqu’à l’occupation allemande de 1942. La casemate construite en 1536 sous l’ordre de Charles Quint a été restaurée en 2004. Grâce à la restauration du couloir effondré, un morceau de muraille datant de l’époque médiévale (14e siècle) a été découvert. L’espace est judicieusement mis en valeur par un puits de lumière.

L’atelier de gravure

Derrière la Scène Vauban construite en 1980, le service des publics accueille et informe les visiteurs qui souhaitent accéder à la pratique de la gravure ou réserver une visite guidée. N’hésitez pas à y passer. Vous aurez peut-être la chance d’assister à la création d’une estampe.

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oui
Oui
Oui
conservation.musee@ville-gravelines.fr

MTVS - musée du textile et de la vie sociale

Place Maria Blondeau
59610
Fourmies
03 27 60 66 11
03 27 60 88 88
Ethnologie, Sciences et techniques, Patrimoine industriel, Arts et traditions populaires
Ouvert du 1er février au 31 décembre.
Du mardi au vendredi de 10h à 18h / Weekend et jours fériés de 14h à 18h
Entrée : 6 € / 8-17 ans, tarifs réduits et groupes : 4 € / - 8 ans Gratuits

Pour tout commentaire ou demande de renseignements, contactez directement le musée .

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Accès

Fourmies
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s.dhote / écomusée de l'avesnoiss.dhote / écomusée de l'avesnoiss.dhote / écomusée de l'avesnois

L'écomusée de l'avesnois : un patrimoine industriel d'exception.

Le MTVS - musée du textile et de la vie sociale occupe une ancienne filature de laine peignée de 1863 avec sa machine à vapeur et un impressionnant parc de machines en fonctionnement. Le parcours muséographique plonge le visiteur dans la vie quotidienne du monde ouvrier à la fin du 19e siècle.

Textile

De la carde aux métiers à tisser, c’est un siècle d’évolutions techniques qui s’exprime au MTVS. Un siècle d’industrie textile, de la seconde moitié du XIXe siècle aux années 1970.
C’est sans doute aujourd’hui l’une des plus importantes collections de machines textiles en état de marche.
Sur le site, reconstitutions et démonstrations montrent le monde du travail et abordent la question sociale.

Machines

Une chaudière et une machine à vapeur témoignent de la révolution industrielle.

Dans l’atelier, machines et démonstrations révèlent les étapes de la fabrication des fils et tissus. La filière textile est reconstituée, de la laine brute au tissage.

Autour de l’outil de production, les ateliers de maintenance, de bonneterie, de couture, d’entretien du linge illustrent la variété des activités et des métiers liés à l’industrie textile.

Travail

Le MTVS parle de l’histoire économique et sociale de Fourmies, de l’industrialisation, de l’urbanisation, des conditions de vie et de travail.

Il parle de ces hommes du XIXe siècle qui ont transformé un village en capitale mondiale de la filature de laine peignée.

Sans doute devons nous beaucoup à ces femmes et à ces hommes ?
La rue pavée avec son estaminet, ses boutiques, son école, son habitat ouvrier,transporte le visiteur, l’aide à comprendre cette époque.

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oui
Non
Non
contact@ecomusee-avesnois.fr

Musée Quentovic

8, place du Général De Gaulle
62630
Etaples-sur-mer
Archéologie régionale, Beaux-arts, Histoire, Sciences naturelles, Archéologie
Musée temporairement fermé - expositions hors les murs

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Etaples-sur-mer
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ATTENTION le musée est fermé mais propose des animations. Se renseigner auprés de l'office de tourisme

Le musée, constitué autour de collections associatives, est installé sur la place principale de la ville, dans deux anciens hôtels particuliers du XVIIe siècle. Aujourd'hui Musée de France, il doit son nom à l'ancienne société Quentovic, qui évoquait avec ce toponyme l'importante activité portuaire de la ville, très florissante à l'époque des royaumes mérovingiens puis de l'Empire carolingien.

LES COLLECTIONS

Salles permanentes du musée

A travers un parcours expliquant successivement la géologie et l'archéologie, le musée Quentovic vous permet de découvrir 540 millions d'années d'histoire en Côte d'Opale Sud.
Depuis les premiers fossiles régionaux (tronc d'arbre de l'ère Primaire, ammonites du Secondaire, etc.


…) jusqu'aux riches témoins Préhistoriques et Antiques de l'estuaire de la Canche, découvrez la très lointaine histoire du Détroit du Pas-de-Calais...


Vous pourrez également visiter une salle uniquement consacrée à l'histoire de la navigation durant les temps anciens, grâce à la présentation de maquettes de bateaux. Le parcours se termine par une évocation du port carolingien Quentovic.
Enfin, un saut dans l’histoire nous permettra de comprendre l'emplacement stratégique de la ville d’Etaples durant la Première Guerre Mondiale. Les collections exposées (une petite sélection de photographies et de matériel pharmaceutique) proviennent essentiellement du Camp britannique installé sur la commune entre 1914 et 1919.

En savoir plus
oui
Oui
Non
musee-quentovic@etaples-sur-mer.net

Musée de la mine et des traditions populaires

10 rue Paul Bert
59124
Escaudain
Ethnologie, Histoire, Sciences et techniques, Patrimoine industriel, Archéologie, Arts et traditions populaires
Ouvert le dimanche matin, se renseigner au préalable à la mairie : 03.27.44.07.04

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Escaudain
Musée d'Escaudain : Reconstitution d'un habitat minier en 1900

Escaudain est un bourg qui durant les XIXe et XXe siècles a vécu entre un monde agricole bien présent (environ 40% de la population active) et la vie industrielle basée sur le charbon et l’acier. Les collections du musée reflètent cette diversité au travers d'objets, de maquettes, de costumes et d'archives.
Ce musée de la vie locale vous plonge dans l'atmosphère du siècle dernier. L'industrie de la mine, de la sidérurgie et les métiers d'autrefois sont particulièrement illustrés par de nombreux outils et costumes d'époque.

oui
Non
Non
ghirselj@agglo-porteduhainaut.fr

Musée des Beaux-arts de Dunkerque

Dunkerque
03 28 29 56 00
Archéologie régionale, Arts décoratifs, Beaux-arts, Ethnologie, Histoire, Numismatique, Sciences naturelles, Arts graphiques
Le musée des beaux-arts est fermé depuis le 1er avril 2015.

Adresse postale actuelle : 302, avenue des Bordées 59140 Dunkerque

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Accès

Dunkerque
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Le musée des beaux-arts est fermé depuis le 1er avril 2015.

La collection du musée des Beaux-Arts de Dunkerque rassemble un peu plus de 20 000 œuvres et objets remarquables :

  • un important ensemble de peintures flamandes, hollandaises, françaises et italiennes du XVIème au XIXème siècle
  • un fonds de plus de 10 000 spécimens d’histoire naturelle évoquant l’histoire des sciences et de la connaissance du monde naturel,
  • de nombreuses pièces d’arts décoratifs et d’archéologie, dont une rare momie recouverte de feuilles d’or,
  • une collection retraçant l’histoire de la ville, l’évolution du territoire et de la Flandre maritime, d’histoire locale et régionale,
  • plus de 3 000 objets venus de tous les continents d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Océanie…

L’Histoire du Musée des Beaux-arts de Dunkerque

Dans la continuité des voyages scientifiques et de la philosophie des Lumières du XVIIIe siècle, la France voit émerger sous la Révolution des musées encyclopédiques à vocation pédagogique et accessibles à tous.

En 1829, la municipalité de Dunkerque appelle à la « générosité des amateurs, naturalistes et autres » pour initier une première collection composée d’animaux naturalisés et d’objets divers. En 1838, un « musée communal » est créé à l’initiative du député Benjamin Morel ainsi qu’une commission chargée de « l’enregistrement des dons », personnalité influente. Les saisies révolutionnaires du district sont transmis par la Sous-Préfecture, soit plus de cent tableaux essentiellement flamands. Toujours en 1838, le maire François Gourdin sollicite les capitaines au long cours afin qu’ils rapportent des Colonies étrangères des « objets exotiques ». Marins, négociants, érudits et habitants ainsi que militaires et administrateurs coloniaux procèdent à des dons et envois d’Afrique, d’Amérique ou d’Asie. 

Le 27 juin 1841, le nouveau musée est inauguré dans une portion du Palais de Justice. Son fonds exceptionnel de peintures mais aussi d’objets océaniens, d’archéologie antique, de numismatique et sa collection d’histoire naturelle lui donnent d’emblée un caractère universel.  Le musée achète et se voit offrir des peintures d’Europe du Nord, des œuvres de l’église Saint-Eloi, des pièces et médailles, des spécimens d’histoire naturelle, des maquettes de bateaux, des outils et d’instruments de navigation, ...

En 1860, au décès de Benjamin Morel, la ville acquiert sa propriété et y construit en 1877 le « Musée-bibliothèque ». Les collections ne cessent de s’étoffer avec les dons des négociants Théodore et Alphonse Bray (1850-1882), les legs « Coffyn » (1887) et « Joffroy » (1898). L’État soutient le musée depuis son origine et envoie régulièrement des dépôts jusque dans les années 1970 : parmi les plus marquants Le Port de Dunkerque d’Eugène Isabey en 1933 et la momie dorée provenant du site égyptien Antinoé en 1906. En 1911, le musée connaît quelques aménagements et reçoit son dernier legs important avant les années 1980, un ensemble d’objets asiatiques par Sophie Angellier-Beck, fille d’un armateur dunkerquois. 

Lors des deux guerres mondiales, les collections sont en grande partie évacuées. Bombardé en mai 1940, le bâtiment est détruit ainsi que certaines collections repliées dans l’hôtel de ville. En 1955, un lieu d’exposition provisoire est aménagé dans la bibliothèque. Le 15 octobre 1973, le musée ouvre ses portes dans un tout nouveau bâtiment sur l’ancien site Morel.

Vers un musée du XXIe siècle ?

Depuis 2004, le musée des beaux-arts et le LAAC sont réunis au sein de la Direction des musées de Dunkerque.

En 2015, la Ville de Dunkerque s’engage dans une réflexion sur la redynamisation et l’attractivité de son offre culturelle. Les grandes orientations dessinent de nouvelles perspectives de travail pour les musées dunkerquois. La collection du musée des beaux-arts de Dunkerque est valorisée grâce aux évènements Destination Musée qui propose des expositions en partenariats avec des institutions culturelles d’ampleur en France et à l’étranger. Aujourd’hui, les prémices d’un projet d’envergure se dessinent.

Le musée poursuit une politique active de conservation et de valorisation de ses fonds. Le Projet scientifique et culturel du musée a été validé par le conseil municipal de Dunkerque en 2020 et approuvé par l’État en avril 2021. Le présent PSC esquisse les concepts qui guideront la création de ce futur équipement qui doit dire et montrer la circulation des idées et l’histoire d’un territoire ouvert sur le monde, profondément marqué par sa situation de ville frontière. Les collections du futur musée seront exposées dans un parcours protéiforme composé d’une succession d’espaces thématiques où les objets seront remis en contexte au regard de leur histoire et de leur lien avec le territoire.

Une philosophie propre au projet : celle d’un musée bienveillant qui place les publics au cœur de sa réflexion. 

Au-delà de la dimension scientifique du musée, soutenue par des dispositifs de médiation innovants qui viseront à rendre accessible les collections, c’est l’ensemble du musée qui doit être un lieu où il fait bon vivre. Dès l’entrée le visiteur doit se sentir accueilli, désiré. À ce titre les aménagements des espaces du musée devront intégrer, de son architecture globale jusqu’au moindre détail du mobilier, cette philosophie d’ouverture. Le musée, outil de conservation et de valorisation des collections, participant du rayonnement du territoire, deviendra ainsi également un facteur de consolidation du lien social. 

Fin 2021, les musées de Dunkerque ont initié une étude de programmation qui suit actuellement son cours.

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art.contemporain@ville-dunkerque.fr